Damaged People - Sroddâw

C’est bel et bien trois ans avant que les deux jeunes parents de Sroddâw se sont rencontrés. Qui aurait cru que Heirion et Mileria, issus de deux mondes différents auraient fini par s’aimer et en plus de cela se marier? Autant dire qu’en plus de cela, le jeune homme avait eu de la chance avec Mileria, famille ouverte, le bonheur de leur fille passant avant toutes choses. Heirion Harwgol était issu d’une famille travaillant sur Zeltros, mais lui était tout simplement chasseur de prime. Mileria, issu d’une famille noble, proche de la reine, venait de Naboo, de la capitale, et c’est simplement lors d’une visite de  Heirion, que les deux jeunes gens se rencontrent, une simple amourette qui se change en mariage un mois plus tard. Heirion travaillant comme chasseur de prime, il ne pouvait pas arrêter cela. C’est donc 33, que naquit Sroddâw, une petite boule rousse, avec des traits tirant sur ceux de sa mère. Petit hybride, il possède ainsi, des capacités de zeltrons qu’il ne contrôlera pas. En effet, il est capable de ressentir les émotions des humains et proches-humains et aussi de pouvoir calmer ces gens en les touchant à cause des phéromones. Cependant il ne contrôle pas cela et ça ne dure que quelques minutes et ce déclenche n'importe quand. Ainsi pas besoin du don d'empathie. Cependant, quand il se met en colère, ses mains et son cou prennent une teinte rouge et qui fonce en fonction de sa colère qui augmente.

Une petite bouille se trouve au loin dans les paysages de natures paisibles des bouclettes rousses sauvages, jouant avec des fleurs à seulement trois ans. En compagnie de sa tante qui lui montrait comment faire une couronne de fleurs. Sroddâw développait de la curiosité tranquillement, un rire innocent s’échappant parfois d’entre ses lèvres et faisait rayonner son visage constellé de tache de rousseur, faisant de son visage une douce galaxie naturelle. Et autant dire, qu’il vivait bien. Son éducation était clairement faite, par ses grands-parents, la curiosité avait toujours raison de lui et il allait sans cesse toujours voir ce qui se passe. Comme le jour de sa rencontre avec lui, cet homme qui était un Lasat.

Sroddâw avait cinq ans quand il rencontre alors tout simplement ce Jedi, un maître même. Milo Troral. Sroddâw ne comprenait pas, surtout qu’il était tombé par hasard sur lui dans la capitale où il vivait, sans savoir non plus ce qu’il était, ni qui il était, Milo portait tout simplement une tenue de civil, pas d’armure de jedi. Une cape sur le dos, cachant ainsi un sabre laser sous celle-ci. Sroddâw le salua poliment du haut de sa petite taille, partant alors rapidement pour chez lui, tout en se retournant parfois en vue de la taille imposante et impressionnante du Lasat. C’est ainsi que Sroddâw fit sa rencontre avec Milo, Jedi qui avait senti la force en le jeune garçon. Mais contre toutes attentes, c’est le rouquin qui revint le voir.
Sroddâw est curieux et le sera toujours. Autant dire qu’à chaque fois qu’il voyait le lasat, il restait avec lui, lui ne parlait, c’est ainsi d’ailleurs, que Milo apprit au petit, au bout d’un mois de discussion, que le gamin possédait la force au fond de lui, expliquant ainsi d’où venait certaines capacités “magique”. C’est ainsi, que dans la même journée, de cette année 43, que Sroddâw devint alors le Padawan du Lasat. Mais il eut de la chance, son entraînement, se fit sur Naboo et non dans une académie afin de ne pas couper le lien de famille qu’il y avait avec ses parents et grands-parents. Même si une exqual sur une planète telle que Lothal se fit pour créer son sabre laser. Couleur améthyste, apprenant ainsi tout simplement la forme I, la base de tous les combats au sabre. Et au fil des ans, il s’améliore dans la force et le combat au sabre. Mais vinrent enfin ses quatorze ans, où le jeune homme vint tout simplement quitter sa planète, pour découvrir de nombreuses choses, ou bien tout simplement aider les populations pour montrer les valeurs des jedi. Mais ça sera aussi le début d’hyperactivité que son maître et lui mettons sur le coup de la jeunesse et l’excitation. Et en 48, Sroddâw confectionnera alors son sabre en double lame.

En l’an  49, rien ne se passe vraiment comme prévu, une mission qui devait être simple, mais comment dire que rien ne se passa comme prévu. Sroddâw est encore jeune, la mission est donc détournée à cause d'un soldat, un traître, qui avait été manipulé par un ou une inconnu, même si le maître de Sroddâw détectera quelque chose d'obscur derrière une fois de retour sur Thelos Prime. En effet, Sroddâw voit la mission échouer mal tournée, la moitié des fédérés se faisant alors tués par le traître et les ennemis en faces. Ressortant alors traumatisé, il s'en remet cependant, mais avec du mal, c'est ainsi, qu'une fois de retour sur Thelos, il trouve RT endommagé et le répare, celui-ci devenant alors son meilleur ami.

C’est durant la même année qu’il apprit la forme III, Soresu, une méthode défensive lui allant clairement bien, tout simplement. Et c’est en l’an 51, que le jeune homme devint un Jedi, à seulement 18 ans. Mais autant dire qu'il ne quitta pas son maître. Il avait des missions à accomplir avec celui-ci. Il apprendra d’ailleurs la forme de combat Ataru en plus des deux premières qu’il possède.

Entre l’an 54 et 57, Sroddâw voyagera ici et là avec son maître. Allant de Tatooine à Hoth, ou bien tout simplement passant sur d’autres planètes ou des gens ont besoin d’aide, de soutien. C’est ainsi, que Sroddâw découvrira des planètes, et tout ça, lui donnera clairement envie de voyager et d’en apprendre plus sur les mondes. C’est durant ces mêmes années que l’on verra l’efficacité du traitement, mais que les méditations l’aident clairement à pallier ses soucis de manies et dépressions. Apprenant ainsi, à contrôler sa maladie comme il le peut avec tout ça.

C’est donc en l’an 57, que le voyage se termina, retournant alors sur Thelos Prime, où Sroddâw restera le temps de recevoir des missions ou bien tout simplement reprendre les voyages si l’envie le prend. Sroddâw ne se mêle donc pas des choses qui se passent ailleurs tant qu’on ne lui ordonne pas, il a déjà assez de problème avec sa maladie et c’est suffisant.