Hunt down the Slug. [ Valkia ]

Peu de monde avais le courage de défier un Mandalorien, c'est une vérité. Il faut être suicidaire pour défier une guilde entière. Un hutt un peu trop.... Volontaire a voulu prendre notre marché en créant ça guilde de chasseur de prime. Ils ont voulut faire les malins, ils ont tué trois des nôtres... Ils n'ont pas eux les couilles de s'attaquer à des vétérans mais de jeune mandalorien. Coup dur pour vous, mais ont se souviens d'eux, pour toujours. Le Get' Al Galaar ce dois de venger ses âmes, au début ils avaient monter une équipe constitué de pas mal de vétéran encore jeune, tu fessais partit de l'assaut pour organiser, mais après une longue négociation tu as réussis a partir seul. Pour ne pas perdre plus d'effectifs, et tu leurs as clairement annoncer que tu voulais ton chant du cygne, tu es dans ta sixième décennie. Tu as vus bien des choses, tu en as fais bien des choses... Il est peu-être temps de mourir pour voir ce qu'il y a de l'autre côté.

Choix difficile que tu leurs a imposé, réponse difficile qu'ils ont répondu, un oui. Te voilà a avoir traquer pour commencer les têtes de l'hydre une part une. Au début de cette chasse, tu as remarquer quelques choses...Sur les cinq, tu n'en as tuer que trois. Les deux autres restant, tu as retrouver leur tête détacher de leurs corps. Sois ils se sont fait manger part plus gros, sois quelqu'un est sur leurs talons. Ce qui n'arrange pas vraiment tes affaires, tu as continuer. Fessant tomber leurs bastions un a un grâce a l'aide de ce mystérieux inconnu que tu n'as jamais vu, au moins vous avez la même longueur d'onde.

Tout se jouera maintenant dans l'imposant désert de Tatooine. Cette planète qui est la tienne ne ta pas manquer... Tu haies cette putain de planète. Ça te rappel bien trop de souvenir. Tu es repasser a cet ancien repaire de Hutt ou tu as vu cette jeune twi'lek que tu as aimé mourir. Ça te fais toujours un pincement au cœur malgré toutes ses années. Bref...

Tu avais mis le vaisseau un peu plus loin, tu avais volé un landspeeder, pris un droïde que tu as reprogrammer pour qu'il face voiture bélier avec une bombe qui va raser l'endroit. Tu avais méthodiquement au fusil-sniper éliminé les gardiens de l'endroit... La voie est libre. Tu t'armes, grenades diverses et varié, fusil blaster lourd, un duo de blaster lourd. Un marteau fait de beskar, et un sabre fait de beskar également. Armure prête, réglée au poile. Lances flammes et autres missile parée... Tu es prêt. Tu montes en haut du dôme, tu vas attaquer part le haut. Tu ne sais pas combien ils sont, mais la rage est la. Ton sang brûle, tes entrailles se sers... Tu lances des grenades pour l'effet de surprise avant de descendre en jet-pack, tirant comme un taré. Touchant tes cibles aisément, profitant de la confusion pour en tuer le maximum.

Une fois au sol, tu passes au marteau et a la lame,danse sanglante têtes qui volent et bruits d'os casser. Un beau programme. Tu essuies plusieurs coups de blaster, l'armure en beskar résiste. Mais dans le feu de l'action, il y a une chose que tu n'avais pas pu prévoir... Ce fameux inconnu encapuchonné était arrivé. Cette personne avait commencer à faire le ménage.... D'une drôle de façon. C'est, légèrement bizarre, elle a un sabre laser a lame rouge et d'après ce que tu vois... Utilise la force. Une aide inespéré ? Ou quelqu'un qui viens te tuer ?

C'est peu être ton moment, ton moments de partir. Part le sabre laser tu supposes, te battre contre un utilisateur de la force. Un sourire viens se faire derrière ton armure grise et bleu. Venant élevé la voie dans ce boucan infernal, venant balancer tes missiles de poignées sur les malheureux.

'' Je sais pas qui tu es, mais tu as bien jouer. Tu ma indirectement aidé a les rabattre dans leur dernier bastion ! ''

Louage pour le coup qui est mérité, à voir comment cette personne va le prendre.

Pour Valkia, combattre les Hutts avait quelque chose de cathartique : la Twi’Lek tenait a chaque fois qu’elle coupait en deux un de leurs sbires un morceau de sa vengeance, une preuve éclatante de sa liberté retrouvée et de sa supériorité sur des individus qui représentait a ses yeux la lie de la société galactique. Même les Jedi lui semblait plus respectable : au moins suivaient-ils une idéologie, aussi stupide soit-elle, alors que les Hutts et leurs mercenaires n’étaient que des parasites. Il n’était pas rare que la belle choisisse de partir en croisade contre l’un d’entre eux, des combats qui ne duraient jamais très longtemps, mais cette fois, l’opération fut plus délicate : une limace plus ambitieuse avait tenter de créer une guilde de chasseur de prime afin de pouvoir concurrencer les pointures du secteur, et l’on pouvait presque dire qu’il y avait une sorte de guerre civile entre ceux ayant rejoint cette guilde, sans doute attirer par les promesses de revenu fixe comme de chair fraîche en échange de quelques travaux douteux au service du Hutt et les indépendants qui entendaient bien ne pas perdre des marchés juteux contre des individus si vils qu’ils préféraient se mettre sous la protection d’un baron de la pire espèce.

Le Prophète ne souhaitait pas voir le milieu des chasseurs de Prime déstabiliser et il savait Valkia toujours très motivée pour intervenir contre eux : il ne fut guère très complexe de la convaincre d’intervenir, en réalité, l’évocation du conflit avait mis la Twi’Lek en chasse. Elle était déjà intervenu sur plusieurs bases, mais a chaque fois, quelqu’un d’autre s’était joint a la fête, et jusqu’à présent, elle avait éviter le contact avec cette personne : elle voulait savoir si comme elle, il serait capable d’aller jusqu’au bout, mais aussi s’assurer qu’il ne s’agissait pas de quelqu’un qui lui serait naturellement hostile, comme un Jedi par exemple, ou encore un agent du nouveau régime, le genre d’individu qu’il était préférable de ne pas croiser. Les pistes trouvées sur les bases de cette fausse guilde menèrent toutes vers le repère principal du Hutt, se trouvant sur Tatooïne… Cette foutu planète de sable n’était pas l’endroit le plus agréable de la galaxie, plutôt son « trou du cul » pour être vulgaire, mais soit, elle s’y rendrait drapée dans sa longue cape noire afin de pouvoir régler son compte a la limace une bonne foi pour toute, s’assurant que cette guilde n’existerait plus et que sa vengeance aurait une nouvelle victime a son tableau de chasse.

Toutefois, une fois arrivée au palais du Hutt, la disciple eue l’occasion de se rendre compte que cette fois, l’homme qui l’accompagnait malgré elle l’avait devancer. Cela signifiait qu’il était digne d’intérêt, mais qu’elle avait enfin l’occasion de pouvoir l’admirer en action. L’armure ne pouvait tromper personne, d’autant plus avec sa résistance étonnante : Beskar, cela signifiait qu’elle avait affaire a un Mandalorien. Ses talents martiaux semblaient être trop affûté pour être un imposteur, et il utilisait ses armes sans hésitations alors qu’il était armée jusqu’au dent. Le « One man Army » n’avait aucune définition plus éclatante que celle d’un guerrier Mandalorien en pleine démonstration. Valkia eue un sourire, il était temps qu’elle fasse son entrée : s’il s’agissait vraiment d’un Mandalorien, cela signifiait qu’il ne faisait pas parti des hostiles, et même si finalement il essayait de l’éliminer, elle aurait au moins un combat a sa mesure. Se laissant guider par la Force, elle quitta sa position d’observation afin de rejoindre la mêlée. Sa souplesse surnaturelle et sa lame écarlate transformait chacun de ses mouvements en une sorte de danse mortelle, la lame paraît un tir pour le renvoyer sur un autre mercenaire qui s’effondrait les yeux exorbité, mais impossible de s’y attarder alors que la belle avait déjà poser les deux pieds face a un autre avant de planter la lame dans sa gorge, le poussant a se couper les mains lui-même en tentant de saisir la plaie.

Gracieuse et rapide, la Twi’Lek s’était déjà échappée depuis longtemps lorsque les tirs de riposte atteignirent sa position. Elle plongeait vers un autre groupe d’ennemi, détournant les tirs avec célérité, esquivant a une vitesse inhumaine, semblant soudainement prendre vie alors qu’un sourire carnassier se dessinait sur son visage. L’homme éleva la voix, se montrant capable de se faire entendre malgré le carnage et les sons assourdissant de la guerre, c’était un compliment, même si le point de vue de la tueuse du côté obscur sur la situation n’était pas tout a fait le même que le sien, elle s’en contenterait. Renvoyant un détonateur thermique vers un groupe de soldat d’un geste qui semblait presque négligeant, elle repris la parole.

« Et tu m’a aider a arriver jusqu’ici. Je ne sais pas ce que ce porc t’a fait Mando, mais il a l’air d’avoir pas mal de sbire a son service. Si tu me laisse arracher sa langue de limace, a défaut de séparer sa tête du reste de son corps révoltant, alors je pense que l’on peut s’entendre pour nettoyer ce cloaque qu’ils osent nommer Palais »

Il y avait quelque chose d’étrange dans la voix de la Twi’Lek, a la fois sensuelle et … Presque démoniaque. D’un geste, elle se débarrassa de sa cape qui devenait une gène, révélant un corps entièrement tatouée et des vêtement qui, a l’exception des bottes, ne dissimulait que l’essentiel, mettant en valeur une silhouette sportive, mais très agréable a regarder.

« L’on peut forcer la porte principale, tenter de passer par le hangar a navette, ou encore les conduits d’aération, voire se séparer… Tu préfère quoi Mando ? »

La lame d'un rouge carmin, cette tenue noire.... Pas de doute. Si les légendes bien vraie, tout ce que tu as lue sur leurs sujets, elle annonce un sombre présage. Mais pour le moment, tes yeux sont rivés sur le corps rouge de la femme, tu ne vois encore trop rien d'elle. Tu as le malheurs de quitter le combat des yeux pour observer la folie furieuse de l'utilisatrice du côté obscure. Tu n'avais pratiquement jamais vu des utilisateurs de la force, une ou deux fois tout au plus et tu ne les as pas affronté. Vitesse mortel et grâce surnaturel qui s'entre-mêlent. Elle égalerai presque une Mandalorienne. Tu as bien dis : presque.

Un tir de blaster te fait revenir a la raison, tu assènes des coups violent et t'assurant de tuer en un seul coup. Tu grognes un peu, enlevant ton marteau du crâne de la créature que tu viens de tuer. D'un mouvement des mains tu vires le sang et le bout de cerveau accrocher au marteau, laissant ce fameux bout s'écraser contre un mur dans un bruit dégoûtant. Elle tue le dernier groupe grâce à la force, renvoyant un détonateur sur un groupe. Tu viens ranger tes armes à ta ceinture, venant applaudir.

Tu t'approches, hardi que tu es. Observant le nouveau spectacle sous tes yeux, elle se dévoile cette bonne et belle dame. Une twi'lek, rouge et vêtu de tatouage noir. Le reste.... ça cache l'essentiel. Tu mentirais si tu ne disais pas que ça réveillait des instincts primaux en toi. Tu l'observes, te sentant si protéger dans ta carcasse de beskar.

'' Un plaisir d'aidé Madame. La limace cause des problèmes à mes employeurs, on m'envois pour le liquidé. Aussi simple, et toi que vaux la colère d'une utilisatrice de la force contre un vert ? ''

Question pour une autre question. Le sens des affaires qui marche, tu viens hausser un sourcilles a ça requête. Franche et exigeante, c'est qu'elle te plais la gamine. En plus de te rappeler ton premier amour. Le vieux chien de guerre que tu es peu encore faire plaisir a une jeune génération. Puis, qui ne peux pas résisté à cette voix chaude, sensuelle avec un brin d'énergie démoniaque dedans ?

'' Tu peux en faire ce que tu veux, tant que tu me laisses le collier qu'il porte et qu'il est bien mort. Je serrai content d'observer tes talents. D'habitude je travail seul... Mais je vais faire une exception. Tu es une personne dotée de capacité extra-ordinaire, j'ai envie de voir ça. ''

Tu viens t'approcher d'elle encore un peux plus, l'air décontracté mais l'esprit encore vif, prêt a la prendre au corps a corps s'il le faut. Tu t'arrêtes a un mètre devant elle, tu ne te gênes pas pour la matter. De toute façon, la visière noir cache ton regard.

'' Ou mieux. Tu me laisses devant, je fais pété la porte, j'arrose pendant que tu passes part les conduits, tu déboules et tu les prends à revers. ''

Tu viens posé genoux à terre, venant fouiller dans une sacoche. Posant au sol plusieurs charges explosif, aux nombres de cinq. Tu te mets a siffloté écoutant la Twil'ek, préparant ta tambouille. Modifiant les charges pour user de la puissance maximale.

'' Ma carcasse de beskar ne passerai pas dans les conduits. Trop étroit. ''

Une fois les charges modifier, tu viens tapoté la porte d'acier pour jauger l'épaisseur. Ça va passer, largement. Tu poses les charges aux quatre côté de la porte, et une au milieu avant de te remettre plus loin en position, prenant le fusil-blaster lourd.

'' Tu me préviens part com-link où tu utilises ton atout spéciale pour me prévenir que c'est bon ? ''

Tu n'as pas eux de réponses franches, tu vas faire confiance à ton instinct. Tu supposes que ça devrais aller.

'' Tâche de ne pas mourir. ''

Un rire sarcastique viens sortir de ta veille gorge. Elle part, tu te prépares, bougeant une caisse pour venir poser l'arme a bipied dessus, prenant une position à l'aise pour tirer. Une fois que tu reçois le fameux signale tu souris.

'' Et .... Le show peux commencer. ''

Tu viens appuyer sur un des nombreux boutons, déclenchant les charges qui fond boom. Tu commences a arrosé comme un cingler, prenant bien soin de ne pas toucher la Femme avec qui tu t'allies. De toute façon, tu vois le sabre virevolté dans tous les sens. Tu t'assures juste que personne la prenne en traître dans le dos. Il y a juste le hutt sur son trône qui panique, qui beugle des phrases incompréhensibles.

Moins de deux minutes plus tard, tout est nettoyer. Tu laisses le dernier ennemie à ton allié, te mettant a avancé tranquillement. Pour être sur, tu tires sur les cadavres quand tu entres dans la pièce pour t'assurer qu'ils sont mort.

'' Krelgisk le Hutt. Tu vas me rapporter une belle prime mon salaud. ''

Tu fais signe de tête à ton alliée de le mettre en joue, tu t'approches de la limaces venant prendre le collier et le fourrer dans la sacoches avant de te reculer, t'asseoir sur une table, poser le blaster sur cette dernière et te mettre à observer.

'' J'ai accomplis ma part du marché, je te laisse prendre la tienne, Madame. ''

« C’est une limace verte qui respire. Pour moi, c’est amplement suffisant pour justifier une attaque. »

Une réplique qui en disait assez pour expliquer qu’elle était dans une vengeance personnelle contre les Hutts, mais également assez floue pour ne pas rentrer dans les détails des griefs qu’elle entretenait contre les barons du crime. Il était Mandalorien, ils étaient réputé pour naviguer en eau trouble et il devrait facilement pouvoir échafauder quelques hypothèses sur les raisons poussant la Twi’Lek a ne pas en dire plus sur les raisons la poussant a s’en prendre aux Hutts. Elle hocha la tête pour le collier, c’était un deal qui lui convenait, elle n’était pas ici pour l’argent de toute façon, mais autant pour satisfaire des demandes du Prophète que pour accomplir sa vengeance personnelle, chez Valkia, unir l’utile a l’agréable était un véritable style de vie après tout. L’homme se rapprocha d’elle sans crainte, comme l’aurait fait n’importe quel Mandalorien. Elle ne pouvait pas savoir ce qu’il pensait, son heaume dissimulant ses expressions, et les Mandaloriens étaient tous entraîner a résister aux intrusions mentale Jedi, tenter de lire son esprit serait bien inutile. Toutefois, Valkia en savait assez sur eux pour savoir qu’une fois le contrat de confiance établi, elle ne risquait pas de voir l’homme le trahir en premier, le peuple de Mandalore plaçait l’honneur au-dessus de tout.

Il décida de prendre la porte principale et lui demanda de bien vouloir passer par le conduit… Soit, il était du genre a avoir l’habitude de commander, et ses arguments étaient valide, son armure limiterait en effet drastiquement ses mouvements dans les conduits d’aération alors que la Twi’Lek pourrait elle s’y faufiler sans aucun problème. Elle l’observa mettre ses explosifs avec un air qui ressemblait presque a un enfant admirant un parent entrain de faire son travail. Mais l’esprit torturé de Valkia était plutôt projeté dans l’explosion qui allait se déclencher et les dégâts qu’elle allait causer chez les forces du Hutt. Elle ne réfléchissait jamais comme tout le monde… Comme elle, il songeait toutefois aux détails et il lui demanda si elle comptait le contacter par Commlink ou au contraire faire usage de la Force afin de lui indiquer qu’elle se trouvait en position. Elle préférait la seconde solution, c’était plus naturelle chez elle et d’un geste en tapotant son front, elle répondit sans même avoir besoin de prendre la parole. Elle répondit tout de même lorsqu’il lui conseilla de ne pas mourir après un petit rire amusée.

« Toi de même »

Lorsque la porte explosa, elle bondit en un instant, sa lame fauchant tout ce qui passait a sa portée. Elle sautait, paraît, renvoyer les laser avec une facilité déconcertante. Les Hutts se pavanaient en affirmant qu’ils étaient les vrais seigneurs de la galaxie, mais leurs hommes de mains étaient trop lent… Les comparer au Mandalorien faisait clairement la différence, il était bien plus difficile de suivre ses mouvements et ses trajectoires que celle de ses adversaires. Il était d’ailleurs capable de diriger ses tirs là ou la tueuse ne se trouvait pas afin d’optimiser le plus possible le nettoyage du hall principal. Ce n’était pas la méthode la plus discrète pour atteindre le chef, mais les Hutts ne pouvaient pas facilement prendre la fuite et puis pour Valkia, la méthode la plus directe et sanglante était toujours la meilleure. Lorsque le dernier défenseur mourut, la lame d’énergie écarlate planté dans le cœur, ils ne restaient derrière les deux équipiers d’un jours que des morceaux de cadavres, qu’ils soient découper par les laser, le marteau du Mandalorien ou le sabre-laser de Valkia, du travail de professionnel préparer a une guerre bien plus dure et violente que cette escarmouche du milieu du crime.

Une fois ce travail fait, la Twi’lek plonge dans le conduit d’aération afin de pouvoir surprendre le Hutt et ses derniers sbires, qui n’en mènent clairement pas large face a un Mandalorien. Féline, aidée par la Force, elle parvint a glisser sans peine et sans faire de bruit pour se trouver derrière la limace et ses derniers sbires, qui hésite sur la conduite a suivre. Personne ne réagit lorsque le Mandalorien arrache le collier, bien trop surpris par tant de culot et de bravoure, mais au moment ou il s’assied pour profiter du spectacle a venir, les autres se prépare a le prendre pour cible… Sans jamais pouvoir le faire. La silhouette écarlate bondit, se dressant derrière eux et de deux moulinet de sabre bien trop rapide, les trois molosses sont mis au tapis, chacun le corps séparé en deux. Le hutt se retourne péniblement, observe la Twi’Lek avec un air surpris et recule, comprenant bien trop tard son sort. Valkia affiche un regard plein de haine et de satisfaction en même temps : dans sa tête, l’excitation est a son comble et un sourire malsain se dessine sur ses lèvres alors qu’elle lève son arme et que l’alien dresse ses deux bras pathétique dans un vain geste de protection.

« Je vais t’arracher ta sale langue de porcs, comme je le ferais a tout ceux de ton espèce, déchet ! »

D’un geste de la main, elle projette la carcasse du Hutt dans la pièce ou ce dernier cogne le mur a pleine vitesse, gémissant de douleur et renversant plusieurs meubles sur le chemin. Mais avant qu’il ne puisse essayer de se redresser, la tueuse est déjà les deux pieds sur son ventre, faisant usage de la Force afin de lui tirer la langue sans même la toucher. D’un geste rageur, elle la sectionne et laisse son trophée tomber sur le sol avant de plonger son sabre-laser dans son cerveau. Une expression pathétique de surprise, de douleur et de peur anime le visage du Hutt dans ses derniers instants, son corps énorme se convulse quelques secondes avant de trouver l’inertie de la mort. Valkia a fermer les yeux et rejeter la tête en arrière, presque comme si elle atteignait l’orgasme… Le gémissement de satisfaction qu’elle laisse s’échapper a la mort de sa nemesis ne semble que confirmer cette ressemblance des plus troublantes. Mais la tueuse se reprend rapidement, éteint et range son sabre avant de s’emparer de la langue pour l’enrouler et l’attacher a sa ceinture, elle lui servira de trophée, rejoignant tout ceux qu’elle avait déjà collectionner dans sa croisade contre cette espèces puante et nuisible.

« J’espère que le spectacle ta plut. »

D’un geste d’une élégance exagérée, elle s’incline comme le font les artistes suite a une représentation théâtrale.

Un simple signe de tête pour ce qui est des Hutts. Tout le monde a une bonne raison de les haïrs dans le fond, c'est limaces sont souvent bien trop dans tous les coins craignos de l'univers. Ils attendent tapis dans l'ombre, envoyant leurs sbire pour faire le sale boulot. Des cancers.... Des cancers, c'est le mots juste des Hutts. Ils n'ont pas d'honneur, s'attaqueront toujours a plus faible qu'eux et ne s'en-prendrons jamais à la personne voulut, ils boufferont d'abord l'entourage... Puis. C'est putain d'esclavagiste au même titre que les Trandoshans. Ça te fais soulever le poile rien que d'y penser.

Tu la comprends de ce fait, sa haine pour les Hutts. Tu penses, au vue de son ethnie raciale que c'est une ancienne esclave qui s'est affranchie d'une manière ou d'une autre.

'' Je suis d'accord avec toi, c'est une limace qui respire, donc une mauvaise limace. ''

Tu finis de préparer les explosifs, tu comprends vite que tu vas devoir ouvrir un minimum ton esprit pour la laisser passer dans ton esprit. Cette idée ne t'enchante guère, mais pour le bien de la mission tu dois le faire. Tu souris derrière ton heaume, un sourire amusé. Elle ne se doute sûrement pas que tu es dans ta sixième décennie de chasse.

'' Sûrement un beau jour pour mourir. ''

Le signal est donné, cette petite impulsion qui te fis poser la main sur le casque. Grognement que tu viens lâcher, tu es seul. Tu peux le faire, tête que tu bouges comme une marionnette sur la-quel on tire trop fort. Cette désagréable sensation qu'est la Force qui te pénètre. Long couteau qui viens te transpercer. Une fois le signal bien passé, tu refermes les portes mentales de ton esprit, une goutte de sueur viens perler de ton front, outre la douleur tu as presque pris plaisir a sentir la Force. Mais bref, l'heure n'est pas au plaisir, la mission avant tout. Même avant la vie, le hall principale est vidé aussi rapidement qu'un précoce dans une pute. Elle te plaît, cette Twi'lek. Tu t'es même permis de ramasser la cape qu'elle avait avant sur elle, on ne gâche rien. Même un bout de tissus.

Tu la vois disparaître,de nouveau. Tu avances, prenant le collier et venant t'asseoir pour lui laisser le plaisir de tuer les derniers sbires, des gros gamorréen. Des cochons sur deux pattes... Nous vivons dans un drôle de monde, elle les abats. Dans le fond, le beskar aurai résister au coup de blaster. Mais... C'était un test. Tu es trop curieux, puis tu jauges la force de l'utilisatrice de la Force. Elle peux-être une alliée aujourd'hui, demain elle peux devenir une ennemie. En parlant d'ennemie... Tu la regardes bien à l'œuvre, presque une sensualité dans ce tableau macabre. La Force, cet outil étrange et trop facile à user pour se battre. Ce petit gémissement, celui la te retourne et te provoque des envies. Tu viens l'applaudir tel un publique satisfait de la prestation. Tu te lèves, te dirigeant vers elle.

'' Oh que oui ça ma plus Madame. ''

Tu viens prendre la cape, te permettant de l'habillé. La petite touche Mandalorienne du détaille comme tu l'appelles. Tu as suffisamment garder des femmes aux épais manteau de fourrure pour savoir que ce petit détaille, de lui mettre ça cape ou son manteau plaît. C'est comme ça aussi que tu as niquer plusieurs haute-gradée.

'' En espérant que Madame a été ravie de ma prestation. ''

Petite pointe d'humour, après cette mission qui c'est dérouler sans trop d'accroc. Maintenant, il faut

'' A moins que tu veuilles me tuer, tu peux m'accompagner récupérer les crédits. Je te verserai la moitié pour l'aide fournie. Non-négociable. ''

Tu as beau sourire comme un imbécile derrière ton casque, ça ne transparaît pas. Ça donne juste l'impression d'avoir aucune émotion, c'est peux-être pour ça que tu aimais tant la visière en T. ça rend vachement méchant, mais bref. Tu viens faire signe de tête à l'utilisatrice de la force te suivre, il reste encore quelque chose à faire, faire pété l'endroit pour éradiquer a peux prêt toute forme de vie. Tu te mets à marcher, retournant dans la pièce principale, pianotant sur les boutons de ton gantelet, un speeder venant foncer et rentrer part une vitre dans la salle principale.

'' J'espère que tu aimes les explosions. ''

Tu ne lui laisses pas vraiment le temps de réfléchir que tu viens la prendre contre toi, passant un bras autour de ces hanches avant d'activé ton jet-pack pour vous envoler, passant part la baie vitrée que tu as fracasser pour ton arrivée, restant dans les airs un moment, te dirigeant vers le park a moto-jet, tu comptes bien en subtilisé une que tu vas retaper. Tu la garde contre toi, le temps de volé et tu mentirais si tu disais que t'aimais pas avoir une jolie gonzesse contre toi.

'' Profite de la vue, Tatooine n'est pas si belle d'habitude. ''

Vue que tu connais trop bien, cette maudite planète. Tu connais à peu prêt tout de Tatooine vu que tu y as grandis. Des Hutts aux hommes des sables dont tu parle la langue. Après un moment dans les aires, tu viens te poser sur la terre ferme, devant les moto-jet, te décollant de la Twi'lek. Tu te diriges vers une des moto-jet, la trafiquant pour la rendre maniable et venant sangler le barda que tu avais pris pour la mission. T'enfourche la bécane.

'' Beowulf.''

Le surnom qu'on t'as donner au fil des années, tu ne révèles pas ton vrai prénom comme ça. Puis... Vrai prénom, c'est vite dis. Tu mets un coup de gaz pour la faire démarrer.

'' Il y a trois jour de route jusque Mos Eisley. Je serai la bas-pendant deux jours après je me casse, ne m'oblige pas à te traquer dans toute la galaxie pour te donner la moiter des crédits que je te dois pour le contrat.

Si tu n'as rien à faire, on peu faire le trajet ensemble. Sinon on se retrouve la-bas. ''